A M. Charles Nodier (Aloysius Bertrand Poems)
L'homme est un balancier qui frappe une monnaie ? son coin. La quadruple porte l'empreinte de l'empereur, la m?daille du ...
L'homme est un balancier qui frappe une monnaie ? son coin. La quadruple porte l'empreinte de l'empereur, la m?daille du ...
Tr?s haut amour, s'il se peut que je meureSans avoir su d'o? je vous poss?dais,En quel soleil ?tait votre demeureEn ...
Tout homme a ses douleurs. Mais aux yeux de ses fr?res Chacun d'un front serein d?guise ses mis?res. Chacun ne ...
Quand l'avenir pour moi n'a pas une esp?rance, Quand pour moi le pass? n'a pas un souvenir, O? puisse, dans ...
Ah! comme la neige a neig?!Ma vitre est un jardin de givre.Ah! comme la neige a neig?!Qu'est-ce que le spasme ...
Autour du toit qui nous vit na?tre Un pampre ?talait ses rameaux, Ses grains dor?s, vers la fen?tre, Attiraient les ...
Qu'il est doux et beau le jeune ?ge, O? l'?me garde sa candeur, O?, ne redoutant nul orage, ...
Le doux sommeil habite o? sourit la fortune, Pareil aux faux amis, le malheur l'importune. Il vole se poser, loin ...
"Tout aux tavernes et aux filles." Suppose you screeve? or go cheap-jack? Or fake the broads? or fig a nag? ...
EN Amerique, professeur; En Angleterre, journaliste; C'est à grands pas et en sueur Que vous suivrez à peine ma piste. ...
ILS ont vu les Pays-Bas, ils rentrent à Terre Haute; Mais une nuit d'été, les voici à Ravenne, A l'aise ...
LE garçon délabré qui n'a rien à faire Que de se gratter les doigts et se pencher sur mon épaule: ...
THE PROLOGUE. This worthy limitour, this noble Frere, He made always a manner louring cheer* *countenance Upon the Sompnour; but ...
Je connais le d?sespoir dans ses grandes lignes. Le d?sespoir n'a pas d'ailes, il ne se tient pas n?cessairement ? ...
La voyageuse qui traverse les Halles à la tombée de l'été Marchait sur la pointe des pieds Le désespoir roulait ...
La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, ...
Mon enfant, ma soeur, Songe à la douceur, D'aller là-bas, vivre ensemble! Aimer à loisir, Aimer et mourir, Au pays ...
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que ...
Mon verre est plein d'un vin trembleur comme une flamme Ecoutez la chanson lente d'un batelier Qui raconte avoir vu ...
Du rouge au vert tout le jaune se meurt Quand chantent les aras dans les forêts natales Abatis de pihis ...
La lune s'attristait. Des s?raphins en pleurs R?vant, l'archet aux doigts, dans le calme des fleurs Vaporeuses, tiraient de mourantes ...
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